Assise, silencieuse,
Au sein de cette liesse.
Espérant secrètement
Que ce supplice cesse.
Mollement bercée,
Par ce flot de paroles.
Tellement désuètes,
Si semblables à l’obole.
Priant ardemment,
Que finisse cette messe.
Que lumière se fasse,
Sur l’ombre de leur faciès.
Amère langueur
Brûlant au creux de ton coeur.
Vif tumulte,
Vrombissant d’un ton vengeur.
Eveillez vous,
Rejettez vos atours!
Affranchissez vous,
De ces affables vautours.